Ça y est, le week-end Shinsengumi est déjà loin derrière nous –nan, c’est pas vrai, mais deux jours loin les uns des autres ça équivaut à une éternité ^_^
Je ne prends pas de risques en disant qu’on a passé un super week-end –un peu comme à chaque fois, en fait.
Naga et Boby nous ont rejoints sur Strasbourg pour quelques jours de folie.
On a beaucoup ri, on a énormément discuté de nos projets –pour ceux qui en ont–, de l’avenir incertain qui nous attend –en un mot comme en dix : l’avenir, quoi– et on a surtout passé de nombreuses heures à rabâcher et à se rappeler du bon vieux temps ; sauf que contrairement aux gens normaux –ennuyeux, tu veux dire– on n’a pas évoqué notre dernier restaurant ou notre première rencontre IRL –InRealLife– non : on a préféré se remémorer les nombreuses fois où Lobo nous a mené vers une mort certaine –TAPPPEEEERRRRR !– les moults crafts ratés et réessayés jusqu’à réussites –bordel, qu’il est têtu le nabot Mido–, les multiples bourdes des uns et des autres –oups, critique, t’es mort, ch’uis rouge T_T– ou les diverses vilaines rencontres avec de méchants joueurs –kikitoutdur– bien entendu, certains noms sont encore revenus –merci Gruby pour tes trains de mobs (cliquez sur le lien si vous avez un blanc).
Donc cela, c’est pour la partie souvenirs-souvenirs.
Sinon, on a un peu changé nos habitudes, c’est-à-dire qu’au lieu de passer le week-end à visiter Strasbourg, certes jolie ville mais qui, à force, est connue de Naga et Boby –comme sa poche pour ce dernier– on a décidé, pour innover, de sortir de nos remparts pour aller s’enfermer derrière ceux de Kaysersberg –la montagne de l’empereur.
Le vendredi midi, on a mangé à la maison –poulet crème pâtes, détail inutile mais toujours bon à se rappeler… ou pas. Nanouk et Barbouille nous ont rejoints pour le dessert puis nous sommes partis –hétéroclites.
Après un tour de la ville qui nous a permis de prendre des photos, trouver à moyen-bas prix un Mazenod, acheter du miel et un k’ruc plein de mignonitude pour ma puce absente, on en a profité pour se poser à une terrasse afin d’engloutir notre goûter. On est rentré pour 18h30, l’heure parfaite pour préparer le dîner –enchiladas, autre détail inutile– et passer une bonne soirée.
Le lendemain –samedi, quoi !– Barbouille est venue à la maison pour le repas du midi –quiche lorraine, salades, cake au thon, si je vous ennuie avec la bouffe, gardez-le pour vous !– puis c’est le moment que nous avons choisi pour faire un tour en ville –une balade qui nous a achevés. En fin d’après-midi, nous sommes rentrés et avons vaillamment comaté un temps dans le canapé. Finalement, on s’est bougé un peu et avons essayé le jeu de Boby The Age of War qui est plutôt chouette –simple mais sympathique.
Quand Yob a débarqué, on a lancé le départ vers le restaurant –des tapas, ça changeait des traditionnels Winstub– on est arrivé à l’heure et avons attendu Tonio ainsi que Ngoc qui ont eu bien du mal à trouver une place pour se garer –en même temps, ça n’aurait pas été une soirée Shinsengumi digne de ce nom si Tonio n’avait pas eu de retard.
Le repas était fort sympathique même si on a eu un peu de mal à s’entendre parler avec la musique.
On a terminé la soirée au spectacle son et lumière de la cathédrale –le ballet des ombres heureuses. Il était moins sympa que les années précédentes en raison d’une diminution des jeux de reliefs mais cela se laissait malgré tout regarder.
Alors, en ce qui concerne le dimanche, Aegen nous a invités à manger un barbecue à sa maison. Boby s’est occupé de la cuisson, surtout celle de la côte de bœuf –hein, Boby !– que Yob a ramenée. Naga et Barbouille étaient également présents –oui, je fais au mieux pour le récit, on n’est arrivé qu’à 17h15 parce qu’on a été chercher notre puce dans le trou du cul du monde – d’après elle, c’est un bel endroit pas un trou duc… certes, n’empêche que c’est bien paumé comme coin.
L’après-midi s’est partagé entre discussion, rigolades et chaises musicales pour obtenir la super chaise longue – que je n’ai pas testé, ça doit être comme les bouquets de la mariées, je n’y ai jamais eu droit :p
Le soir, on a essayé de se faire un resto –oui, j’ai bien dit essayé– mais c’était fermé. On a donc pris un burger +++ à l’arrache –vous aurez remarqué l’importance de la bouffe, hein et on n’a sauté aucun repas– et on s’est séparé un peu avant 23h avec un grand vide à l’idée de devoir attendre de longs mois pour pouvoir à nouveau se revoir et en se promettant de se retrouver sur mumble –mouais, des promesses, des promesses, toujours des promesses !